Le nom choisi pour l’installation est l’acronyme de Centre Industriel de stockage GÉOlogique, un acronyme manifestement incomplet puisqu’il oublie le « S » du Stockage.
Telle est pourtant la mission de CIGÉO : assurer le stockage des déchets radioactifs les plus dangereux : les déchets de Haute Activité (HA) et de Moyenne Activité à Vie Longue (MA-VL).
Ils représentent une très faible part des masses de déchets radioactifs générées par l’exploitation de l’énergie nucléaire mais concentrent plus de 99% de leur radioactivité. De l’avis même de l’ANDRA, ils demeureront « fortement radioactifs pendant plusieurs centaines de milliers d’années ».
- Communiqué du 08/07/2021 – Projet Cigéo : la CRIIRAD refuse d’intervenir dans le cadre de la conférence de citoyens
- En introduction à un dossier hors norme
- Quelques repères chronologiques
- Présentation des grandes lignes d’un projet pharaonique
- Graves problèmes d’inventaires
- Le casse-tête des coûts et des financements
- La réversibilité à l’épreuve du retour d’expérience : l’exemple de STOCAMINE