Plus de 200 mines d’uranium ont été exploitées sur le territoire français entre 1945 et 2001. Leur gestion incombe à l’entreprise Orano, qui souhaiterait s’en désengager. C’est au contraire un renforcement des mesures de gestion de ces sites qu’il faudrait mettre en œuvre : recensement des pollutions, assainissement, confinement des déchets, suivi environnemental, information des riverains, conservation de la mémoire… Les textes du code minier sont loin de répondre à ces exigences.
Le site de l’Écarpière, à proximité duquel se tenait la 11ème réunion annuelle du Collectif Mines d’Uranium, n’échappe pas à la règle.
3 mars 2023 – Anciennes mines d’uranium françaises – Terres et eaux contaminées : non au désengagement d’Orano !
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