
Vous pouvez aider la CRIIRAD à porter ses messages !
Dans un contexte de relance du nucléaire, de sollicitations de toutes parts – citoyens, collectivités, associations – mais aussi de contraintes budgétaires, notre association a besoin d’amplifier son audience auprès du public et d‘obtenir un plus large soutien.
Pour cela, elle a besoin d’un nombre toujours plus important de relais.
Amis adhérents, aidez-nous à diffuser nos messages grâce aux exemples de thématiques ci-dessous.
Vous n’êtes pas encore adhérents ?
Thématique 1 : alerte
Thématique 2 : surveillance
Thématique 3 : décryptage
Des adhérents témoignent
J’adhère à la CRIIRAD pour plein de raisons, en voici deux :
Angélique H.
– une personnelle : j’avais 12 ans en 1986 (Tchernobyl), je mangeais des légumes du potager dans le Grand Est, frontière à laquelle le “nuage s’arrêtait”. Arrêter les nuages, en voilà encore une histoire d’adultes qui nous parait incongrue à cet âge-là, mais bon… ils nous ont bien menti sur le Père Noël :/
Devenue adulte moi-même, j’y ai repensé quand ma thyroïde s’est mise à me jouer des tours que, dans ma famille, de mémoire, on n’avait jamais connu… Lier de cause à effet ces évènements de ma vie ? Je ne sais pas, ce que je sais c’est que la CRIIRAD est le seul laboratoire indépendant à alerter sur les dangers de la radioactivité, à questionner et à nous donner une information dont les pouvoirs nous privent.
– une militante : je milite contre Cigéo, un projet de méga poubelle atomique dans le Grand Est. La CRIIRAD est une source irremplaçable de connaissances et d’analyses pour notre lutte et que les équipes bénévoles et salariées sont toujours prêtes à transmettre, avec bienveillance, sympathie et surtout patience, alors comme je le dis souvent dans mes conférences : “Je suis fan de la CRIIRAD !”
Je suivais d’assez loin les travaux et les communiqués de la CRIIRAD, à peu près depuis sa création mais, en 2011, la catastrophe de Fukushima m’a fait prendre conscience que le traitement (médiatique et politique) des “accidents” nucléaires souffrait toujours des mêmes tares qu’en 1986 au moment de Tchernobyl : propos lénifiants des autorités, confinant au mensonge, repris sans vérification ni critique par la plupart des médias dominants.
Jean-Philippe
J’ai alors pensé que la CRIIRAD allait avoir besoin de ressources financières pour mener à bien ses missions d’analyses et d’information, c’est pourquoi je me suis enfin décidé à adhérer.
Peu après, j’ai rencontré un autre adhérent qui tenait le stand de la CRIIRAD au salon Biocybèle, je lui ai proposé un coup de main et, depuis, je participe à l’animation de ce stand sur plusieurs salons bio de la région.
Au-delà de cet engagement, je peux aussi relayer une information rigoureuse et indépendante à mon entourage (famille, amis, collègues) qui sont généralement dubitatifs quant à la communication officielle au sujet de la filière nucléaire, mais croient trop souvent que c’est un sujet trop complexe sur lequel seuls des experts peuvent avoir un avis.