Nos mobilisations

En France, des millions de personnes consomment de l’eau contaminée par le tritium, un radionucléide rejeté en grande quantité par les installations nucléaires. Pour les autorités il n’y a aucun problème puisque les concentrations sont très inférieures à la limite de potabilité (10 000 Bq/l) et même à la référence de qualité (100 Bq/l).

L’étude de la CRIIRAD a montré que les limites sanitaires définies pour la contamination radioactive de l’eau potable conduisent à un risque de cancer plus de 100 fois supérieur au maximum toléré pour les polluants cancérigènes chimiques. Il faut mettre fin à ce régime d’exception et fixer des limites qui protègent réellement la population.

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Alors qu’EURATOM est chargé de développer en Europe des industries nucléaires puissantes, c’est ce traité qui définit les normes de protection contre les dangers de la radioactivité. Le conflit  d’intérêt est criant, au détriment de la protection des populations.

EURATOM constitue également un obstacle majeur au développement des énergies renouvelables : en drainant un volume considérable d’aides financières, son existence restreint les investissements nécessaires aux solutions d’avenir que les citoyens européens plébiscitent et qui préservent les générations futures.

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La Commission européenne veut reconduire les niveaux maximaux admissibles de contamination radioactive adoptés en 1987 sous la pression du lobby nucléaire.Ces limites impliquent des risques sanitaires tout à fait inacceptables : à l’échelle de la France, cette contamination légale pourrait induire des dizaines de milliers de cancers (et bien plus si le pire advenait) sans compter les autres pathologies et la transmission d’anomalies génétiques. Les consommateurs ne pourront pas s’en protéger car ils ne pourront pas différencier les aliments radioactifs des aliments non contaminés.

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L’air de l’Ain et du Rhône délaissé !
La répartition des balises de surveillance (voir ci-dessus) a été établie en fonction des sites nucléaires et de la densité des populations. Dans ce maillage, une anomalie criante apparaît : alors qu’il abrite la plus importante communauté urbaine de la région, que la centrale du Bugey est située à proximité et qu’il est exposé aux rejets potentiels de toutes les installations de la vallée du Rhône, le secteur du Grand Lyon ne bénéficie d’aucun contrôle indépendant !

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Plus de 60 laboratoires d’analyse équipés de détecteurs de très haute précision sont répartis sur l’ensemble de notre planète et contrôlent quotidiennement la radioactivité de l’air. Les résultats de ces analyses permettraient de suivre, jour après jour, et depuis le 12 mars 2011, l’avancée des masses d’air contaminé par les rejets radioactifs de la centrale nucléaire de FUKUSHIMA DAIICHII. Les résultats sont transmis à des organismes officiels qu’ils sélectionnent et qui sont tenus de ne rien divulguer. Le réseau international de mesure est financé par de l’argent public. Les populations ont droit à cette information. Tous les chiffres doivent être publiés et non pas quelques chiffres soigneusement choisis par les autorités.

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La CRIIRAD a appelé les consommateurs et les associations à se mobiliser et à demander aux autorités le maintien des interdictions et l’abrogation de l’arrêté du 5 mai 2009. Des modèles de lettre ont été mis à la disposition de tous ceux qui souhaitaient interpeller les ministres en charge du dossier. Des centaines d’adhérents et sympathisants de la CRIIRAD ont ainsi témoigné de leur opposition à la dissémination de radioactivité dans leur environnement quotidien.

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